Aujourd'hui j'ai fait la connaissance avec une fille qui, au moins à l'occident, normalement, s'inscrit dans la "classification" - une belle et charmante fille russe. Oui, elle est pas mal et même peut-être jolie: des cheveux blonds-roux, des grand yeux bleu et elle porte mon prénom en plus)) - Que suis modeste moi, héhéhéh :p
Pourquoi je dis: "peut-être jolie?" Parce que personnellement j'ai eu du mal à saisir son charme. et ... et elle sourit pas !! Ok, ok... je comprends, on n’as pas tous une aisance innée à sourire mais quand même.
Quand je rencontre, sur Paris, quelqu'un de mes origines (dans "mes origines" j'inclus presque tous ceux qui viennent du partie Est de ce grande monde) je suis prédisposée tout suite d’avoir une attitude plus amicale et chaleureuse envers eux. Logique il me semble :) Mais cela ne marche pas toujours. Je veux dire, le feed-back que je reçois des fois me fait revoir mes attitudes et comportements spontanés.
Je ne sais pas à quoi est dû ce comportement à eux: méfiance, peur de concurrence (soyons sincères on est ici sur les mêmes droits et les mêmes atouts, presque) ou le fait que certains sont si sûr d'eux / suffisants .. que la communication avec les autres les intéresse pas? Alors pourquoi tans des questions?! T’habites où? Tu fais quoi? Est-ce que c'était dur pour toi? etc., etc.. On n’oublie pas de noter que aux mêmes questions, que je pose à mon tour, soit je n’ai pas des réponses... soit ils sont tirés par les cheveux.
A la fin de ces rencontres je me sens vidée... de mon énergie, de mon enthousiasme.. de ma bienveillance même. De ne recevoir même un sourire, oui... ça me chagrine! et alors là... je me tourne vers la population française, soit dite autochtone. Au moins là, si quelqu'un n'as pas envie de me parler avec un sourire, je peux expliquer cette attitude froide par milles autres raisons ou ne me poser même pas la question... j’avoue, j'ai pas encore tout compris dans le fonctionnement de la société dans laquelle j'évolue il y a quelque temps.
Cette rencontre m'as fait penser à un petit article que j'ai lu dans Psychologies Magazine il y a peu de temps. Le voilà: