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| Rada dans le film Queen of the Gypsies |
Nombreuses ont été les débats sur le sujet des Roms cet année. En France et partout dans le monde. Les uns ont été pour la politique d'expulsion des roms, les autres ont beaucoup critiqués cette décision. Pendant tous ce temps là (enfin, de temps en temps) j'étais moi aussi contrariée. Mais mes soucis étaient d'une nature différente.
Comme sur pas mal des sujets dans la vie, on reçoit beaucoup d'information à partir des médias (c'est pourquoi je suis persuadée que les médias sont uns des premières responsables pour les opinions qui sont/ou pas partagés dans une société ) et moi j'en suis pas une exception. En lisant des articles sur les roms, ces différents sources me renvoient à une image des gens... en gros - irresponsables.
Irresponsables pour leurs enfants, pour leur vie même, pour la nature, pour les autres enfin. Or c'est n'est pas cette image là que j'avais d'eux.
Je n'ai pas encore décidée à quoi est du mon toute autre image de ce que est défini en Wiki-dictionnaire par « hommes et femmes mariés et parents faisant partie d'un groupe de voyageurs, Gitans / Tsiganes ». Mais Il se fait que mon image correspond à autre chose et notamment à l'image de Tsigane Budulai (un homme qui cherchait la liberté et le bonheur) dans le film « Le Tsigane » film paru en 1967 en L'URSS. 
à l'histoire d'Yesenia dans le film "Yesenia", Mexique 1971 - une mélodrame avec Jacqueline Andere en rôle principal.
J'ai trouvée un petit extrait du film mais le son ne marche pas.
et Surtout à la tsigane Rada dans le film "Queen of the Gypsies" - un film soviétique d'Emil Loteanu (1975).
L'intrigue principale du film est une histoire d'amour entre le voleur des chevaux Loiko Zobar et une belle Gypsy Rada. Cette histoire fait partie d'un premier œuvre publié par Maxime Gorki "Makar Chudra", selon laquelle Zobar et Rada s'aiment, mais ils croient que l'amour - c'est une chaîne qui entrave leur indépendance.
C'est ça l'image que j'ai des Vrais Roms, des vrais Tsiganes. Est celle-là n'est pas en aucun cas liée à des voyages dans le métro et RER, accompagnés par "J'ai pas mangé.. j'ai pas maman, j'ai pas papa, j'ai pas travail.. S'il vous plaît pour mes petits sœurs, pour mes petites frères .. etc" Ce dernier "phénomène", à mon avis, c'est l'expression d'une liberté, certes... mais d'une liberté de ne rien faire dans ta vie, de ne rien faire De ta vie, liés aux droits de "demander" de l'aide aux autres... Or la liberté pour moi, se traduit aussi par le droit de faire tous ce que tu as envie de faire tant que cela ne dérange pas les autres.
Avant, j'ai jamais eu cette image d'eux. Peut-être parce qu'en République de Moldavie il y a beaucoup moins des roms (sont-ils partis? où?) qui sont pas dispersés dans tout le pays mais qui ont leur ville et leur département dans cette ville et/où croyez-moi, rien qu'en regardant leur maisons on pourra pas dire qu'il sont pauvres..
Avant, j'ai jamais eu cette image d'eux. Peut-être parce qu'en République de Moldavie il y a beaucoup moins des roms (sont-ils partis? où?) qui sont pas dispersés dans tout le pays mais qui ont leur ville et leur département dans cette ville et/où croyez-moi, rien qu'en regardant leur maisons on pourra pas dire qu'il sont pauvres..
Dans ce contexte là, je pense que les gens qui mendient dans le transport en commun ou dans les rues, ou encore sur les terrasses.. sont un plagiat. Une pauvre imitation de toute une population qui a comme trait déterminant la joie de vivre en liberté, d'aimer sans aucune restriction et préjuges, en suivant son destin... sa route.
Mais pour mieux comprendre ce que je voulais dire, faut regarder ces films. Enjoy!
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